Perdu dans les cris
de cette vague
De cette ville qui tient par la main
Toutes les racines de l’eau
La mer fait vaciller mes yeux
Comme une feuille nue
qui attend des mots semblables
différents l’un l’autre
Peut-être un poème
Sur qui la mer trouvait refuge
Parce que son corps
Ultime reposoir de la ville
Mais à regarder les vagues
Enfermées dans ses charmes
Un soleil taché de clarté
Mes sens ne font qu’entrer
dans sa fenêtre
Et sortir sable pour nourrir les regards
Adlyne Bonhomme
Woww
beau poème
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